Etincelle - Rêve - Attouchement sur Elsa

Rêve :

Dans ce rêve, il y a Didier, Célia, Elsa et moi.

Je me vois partir dans un magasin qui s'appelle Aldi. Je rentre du côté droit dans Aldi. Puis les filles veulent rester là sur un côté du parking. Il y avait d'autres enfants. Je ne voulais pas trop, hésitante. J'ai même demandé à Elsa de rester avec moi mais elle a insisté, elle ne voulait pas, elle ne voulait pas. Et je vois Elsa descendre une côte ! Moi je me retrouve dans une voiture décapotable blanche. Je pose mon sac sur le côté passager et je pars dans un grand magasin de vêtements. Sur l'horloge, il était vers les 16h et d'un cou je regarde, il était minuit.

Là, je commence à m'affoler. Donc je reprends ma voiture. Je me dépêche à retourner à Aldi pour retrouver mes filles. Et j'espérais que leur père les avait récupérées. Je ne me vois pas le faire, mais je sais que j'ai essayé de téléphoner à mon mari, au père, pour savoir s'il avait récupéré les filles.

Je me vois arriver dans le magasin Aldi. Je rentre sur le côté gauche, et je vais voir une femme aux cheveux courts. Elle est derrière un comptoir. Là, elle me dit qu'il fallait signer un papier et je lui dis que la dame de l'autre côté du magasin a dit qu'il n'y avait pas de problème et que je pouvais laisser les enfants, qu'il n'y avait pas de soucis, et qu'elle ne m'a jamais parlé de signer quoique ce soit. Il faisait nuit. Et elle me dit : "Oui on a fait un truc dans ce genre là, après ils sont reparti et ils se sont refermé" (quelque chose comme ça !).

Je quitte le magasin Aldi et je retourne à ma voiture qui se trouve sur le parking. Il y a de la neige dans la voiture. Donc je retire la neige des sièges du passager et du conducteur. Je pose mon sac sur le côté passager puis je m'assois et je rentre à la maison. Je vois Célia qui va bien et là Didier me dit : "ta fille a eu des problèmes, il y a eu des attouchements". Je regarde Elsa. Et je ne la trouve pas très bien, son visage rougis, renfermé. Donc je l'appelle, et on va s'enfermer dans une pièce et j'essaie de savoir ce qu'il s'est passé. Elle ne veut pas me le dire. Elle cache, elle se renferme. Et là j'ai les mots : "enfant de 3 ans".



Vie capté par mon amie médium :

En faite Elsa a été enlevé sur un grand marché. Ca ne se passe pas en France.
La voiture représente une ouverture.
Célia, Elsa, Didier et moi, étions bien la famille.
Didier était resté avec les filles au marché le temps que j'aille chercher du tissu pour faire des vêtements. J'ai senti qu'il y avait un danger, donc je suis revenue sur mes pas. Plus d'Elsa. On a cherché Elsa partout. On l'a retrouvé au milieu du marché, prostrée.

Elle connaissait un petit garçon d'environ 3 ans qui l'a attiré dans une tente et elle s'est retrouvée avec le grand frère, un ado. Ca s'est passé en Italie. Le petit garçon s'appelle Jovani. L'image des yeux de l'ado sont en elle. Dons si on ne fait rien, elle aura peur des regards noirs. Il suffit qu'une personne est un regard sombre, chez les hommes, elle aura peur.
C'est une image qu'elle a gardé à l'intérieure d'elle de cette scène.

Elle fixait quelque chose dans la tente. Mon amie médium voie Célia étendue et qui fixe quelque chose. Elle avait 7-8 ans. Elle n'était pas vieille. Elle fixe quelque chose qui lui permet d'occulter ce qu'il se passe.

Mon amie médium reçoit "Jovanina Bella Bella"

Elle fixe un raid de lumière. Il y a un trou dans la tente et le soleil s'y infiltre.

"Jovanina, tu es belle, tu es belle, tu es mon amour", c'est ce que dit l'ado.

L'ado avait reconnu quelque chose en Elsa. Ils se sont connus avant.

Il y a 2 clans ! Les familles ne se parlent pas. Il y a un différent entre les 2. Mais un différent qui remonte sur des générations. C'est une histoire de terrain. Ca vient de l'arrière grand père.

Le garçon ado n'a pas fait ça pour se venger.

Dans une vie antérieure à celle là, ils étaient promis l'un à l'autre, il y a eu un différent de famille et on était séparé. Donc le mariage a été annulé.

Elsa n'a jamais donné de nom après, elle est sortie prostré, elle avait reconnu son agresseur, mais n'a jamais donné de nom. C'est comme si en même temps elle le protégeait. Elle l'a bien reconnu.

J'ai le mot : "enfin".